Un taux de croissance à deux chiffres ne signifie pas nécessairement la fin du calvaire des Sénégalais. C’est du moins l’avis de l’économiste Maïssa Babou dans Walf Quotidien. Ce dernier soutient que « ce que nous vivons avec la facture d’électricité, les taxes et les impôts, ce sont des difficultés que le Sénégalais n’a pas à régler avec un taux de croissance ».

Meissa Babou juge qu’il « faut s’engager dans une véritable politique de développement » au niveau notamment du secteur primaire. En outre, il est nécessaire de mettre en avant l’éducation et la santé qui sont selon lui des priorités. Des efforts qui, contrairement au taux de croissance, seront vraiment ressentis par le citoyen lamda.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici