Une information largement relayée fait état d’un mandat d’arrêt qui aurait été émis contre Ousmane Sonko pour violation de son contrôle judiciaire. En effet, comme le révélait en exclusivité Libération quotidien, le leader de Pastef n’a pas «émargé » vendredi dernier. Pour autant, Libération online a appris de sources judiciaires autorisées qu’aucun mandat n’a été émis à date contre Ousmane Sonko. En clair, il n’est sous le coup ni d’un mandat d’amener- pour le contraindre à se rendre dans le cabinet du juge- encore moins d’un mandat d’arrêt où il serait directement «déposé » en prison après arrestation. Par ailleurs, le doyen des juges et les avocats de Sonko ont calé une autre date après avoir convenu de se voir ce lundi. En cause : plusieurs membres du collectif des avocats de Sonko sont mobilisés à Ziguinchor dans le cadre du procès de l’affaire Boffa-Bayotte, selon l’un d’eux. Nous y reviendrons.

Une information largement relayée fait état d’un mandat d’arrêt qui aurait été émis contre Ousmane Sonko pour violation de son contrôle judiciaire. En effet, comme le révélait en exclusivité Libération quotidien, le leader de Pastef n’a pas «émargé » vendredi dernier. Pour autant, Libération online a appris de sources judiciaires autorisées qu’aucun mandat n’a été émis à date contre Ousmane Sonko. En clair, il n’est sous le coup ni d’un mandat d’amener- pour le contraindre à se rendre dans le cabinet du juge- encore moins d’un mandat d’arrêt où il serait directement «déposé » en prison après arrestation. Par ailleurs, le doyen des juges et les avocats de Sonko ont calé une autre date après avoir convenu de se voir ce lundi. En cause : plusieurs membres du collectif des avocats de Sonko sont mobilisés à Ziguinchor dans le cadre du procès de l’affaire Boffa-Bayotte, selon l’un d’eux. Nous y reviendrons.v

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