Le leader de Pastef et l’ex-masseuse qui l’accuse de viol ont eu leur face-à-face avec le juge d’instruction du premier cabinet. Mais, constate ‘’SourceA’’ dans sa livraison de ce mercredi, les attentes ont été déçues, puisque les deux protagonistes ont refusé de répondre aux questions des avocats de la partie adverse.

D’après le journal, Ousmane Sonko fait comprendre à El Hadji Diouf que contrairement à lui qui est accusé de viol, la robe noire a été reconnue coupable des mêmes faits en France. Ne se limitant pas à ces déclarations, il a sorti le verdict de la Cour d’appel de Paris qui a condamné El Hadji Diouf et qu’il a remis au doyen des juges.

Aussi, ajoutent nos confrères, Adji Sarr n’a pas été en mesure de donner la date exacte du premier viol, mais a pu indiquer les autres dates. Elle a affirmé qu’Ousmane Sonko n’a jamais pointé une arme sur elle, contrairement à ce qui a été dit. Lorsque le juge lui demande pourquoi elle n’a pas crié au moment des faits, elle dit qu’elle a été intimidée par le leader de Pastef.

Quand le doyen des juges lui a demandé pourquoi il a refusé de se soumettre au test ADN qui pourrait l’innocenter, Ousmane Sonko qui reconnaît détenir une arme à feu, a refusé de répondre à cette question.

Actusen.sn

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